Maintenant plus d'excuses pour le coup classique du "Ouais mais bon, tu vois quoi, tu comprends, c que..." et ne pas prendre de news. L'ère du Blog sonne le glas de la désinformation institutionnelle (celle des chinois du FBI): maintenant où que tu te trouves sur la planète tu peux savoir ce dont il retourne: Les trépidantes journées de McJanus te sont contées avec fifres z'et tambourins! ;-)

mercredi, novembre 28, 2007

La Philosophie du Mouvement

Si ca continue à ce rythme effrené, sous peu je vais me mettre à réaliser un pamphlet...que dis-je, une littérature riche et abondante sur la philosophie du mouvement!

Pour commencer je me verrai bien commencer une série de portraits à la gloire du sous-marin laborieux ;) Par la suite, j'écrirai les légendes qui les entourent, les haut-faits glorieux, le dévouement et le sacrifice au service du fraternel idéal

Un petit livre rouge au jour le jour, plein de pensées idéalistes et positives. Une sorte de dazibao à la sauce conquête du monde agrémenté de rêves et d'événements vécus.

Il faut le dire, la self-motivation est la clé de tout. Sans elle on ne croit pas en ses projets et sans projets on ne croit pas en soi.

Celui qui ne sait pas la valeur du repos arraché de haute-lutte ne connait pas la vraie nature de la tâche laborieuse. On ne mesure sa propre fatigue qu'à la valeur de celle d'un Kamarade... et on s'y remet.

Le cercle est un carré, le carré est un cercle. MmmmMMmmmmh

(la Philosophie du Mouvement c'est plus encore... Oooh, bien plus encore et certainement plus complexe. Mais là je fatigue... et justement, je vais dormir!)

lundi, novembre 26, 2007

Le souvenir d'une "famille" ...et celui de la Famille

Dans le livre de ma Vie, au prologue la suite fût inscrite.
Autant n'avais-je pas mon mot à dire, que déjà il n'y avait plus rien à faire.
Le sort de la famille était écrit. L'instant fugace comme au Sahara la pluie. Pour nous tous, ce serait les larmes du Tibesti.

Alors que cela fera bientôt 20 ans que cette page fût écrite, aujourd'hui, pour beaucoup le livre est déjà refermé. La "famille" à tôt fait d'oublier.

De télégramme en lettres de condoléances, d'hommage en belles lettres... aujourd'hui j'ai le sentiment que tout est resté lettre morte, justement.

Devant les constatations d'un souvenir "familial" qui flanche, d'une mémoire qui s'érode, je n'ai pu me résoudre au silence. Il fallait que je me manifeste au nom de la vraie Famille.

Moi aussi je me suis "armé" de ma plus belle plume, que j'ai lustrée pour l'occasion. J'ai écrit à la direction.

Le destin m'a ensuite fait voir coup sur coup plusieurs co-destinataires. Jean-Philippe, Mr. 'archand-de-Sable: tous deux de bienveillante allure, il semble que notre courrier familial trouve écho à la Tour-de-Voir.

(...)

Rendez-vous à 14h avec Mr. Dir-Aff-Gé, repoussé à 17h.

Alors que nous devions être les trois, on se retrouve finalement à deux à aller discuter d'une reconnaissance perdue, d'un homage légitime à nos yeux.

On y retrouve un homme "ayant travaillé avec", et pourtant, on discute posément, en termes stratégiques pour sa part, en termes familiaux et affectifs pour la nôtre. On est clairement dirigé vers une solution facile, "quelque chose de ponctuel, mais rien de pérenne".

On expose alors à nouveau notre démarche, on explique, on analyse un peu l'évolution, l'avenir qui se dessine...

Puis... Mr Diraffgé (aka l'affreux) se dévoile, révèle le visage de l'un de nouveaux patriarches de la "famille":
Pour le livre des 50 ans, est-ce que c'est normal ou pas? C'est finalement les deux: normal car on a privilegié le côté magazine, coloré, festif. Anormal, car... bon, quand même.
D'ailleurs je ne sais pas (~"si c'était à refaire"~) si je l'aurai mis?

Je demande: Mais vous, en tant que journaliste, vous vous attendiez à le voir?

L'affreux: J'ai été surpris de ne même pas voir une mention... pour introduire. Peut-être pas une page entière... mais je pensais à une mention, même détournée...
L'affreux rajoute: Est-ce que c'est vraiment l'histoire de la Tour-de-Voir? Ce n'est pas de l'histoire...

...Parce que finalement, c'est tout de même arrivé lors d'une affectation!

L'affreux: Oui mais... je veux dire... si on reprend les événements et qu'on les déplace à Nyon?! C'est finalement pas tant lié au métier de journaliste, c'est un risque de la vie. L'accident... vous savez j'ai aussi voyagé et j'ai parfois eu très peur avec les chauffeurs locaux...

Moi: Je comprends (MmmMMmmh! Zazen!)... mais les circonstances sont tout de même assez particulières, on parle d'un pays sorti d'une guerre, toujours troublé, du désert... et ce n'est pas lui qui conduisait tout de même!

L'affreux (qui s'entête quelque peu): Il s'agissait bien d'un accident pendant son travail, mais pas de travail. (...) Bon, je vais prendre un exemple. Il y a cette image d'un journaliste à Budapest (?), qui prend un enfant dans ses bras et qui juste après se fait tirer dessus... Ca c'est fort, "~ca c'est de l'histoire du journalisme~".

Moi: Je suis d'accord avec vous, c'est une situation différente car on parle d'une scène de guerre à proprement parler, d'une image finalement télégénique, esthéthique. On parle de quelque chose qui est fort visuellement parlant. Mais MOI je vous parle d'une autre situation, d'un pays d'Afrique, d'une situation pas moins dramatique! Ca veut dire que cet accident n'est en RIEN lié à son métier de journaliste et à son affectation à ce moment? Voyager sur une piste au milieu des dunes du Tchad ce n'est pas pratiquer son métier?!

...et puis, attendez, parce que la je vous parle du cas le plus dramatique, mais il y a aussi eu plusieurs blessés ce jour-là!

L'affreux: ...C'est vrai qu'on en a aussi eu d'autres abîmés...

On discute alors de choses plus politiques, plus pragmatiques. Ne cherchons plus à échanger nos points de vues, parlons d'un avenir possible, d'une possible aumône arrachée de haute-lutte!

Moi: Nous nous sommes consultés à l'échelon familial et nous aurions souhaité deux choses principales: premièrement, qu'une plaque soit posée à sa mémoire dans un studio, un centre de presse, de formation des jeunes journalistes, ... Deuxièmement, nous aurions apprécié qu'un bref sujet soit diffusé à sa mémoire et pour honorer les deux autres blessés appartenant à la Tour-de-Voir, ce jour-là.

L'affreux: Alors pour ce qui est de la plaque... ce devra être une décision de principe. Nous la prendrons en Con(seil) de Direction, nous y sommes onze. Nous la prendrons d'ici la fin de l'année. Alors il faut vous dire que ce sera une décision de principe... c'est à dire que nous appliquerons la même décision pour tous les cas similaires.
[En biaisant, louvoyant et au final peu clair]
Ce qui me fait peur c'est de créer un précédent, qu'après, toutes les familles des anciens directeurs morts dans leurs lits voudront avoir une plaque. En plus la politique de la maison c'est de ne pas donner de nom aux studios. On les appelle "studio 1", "studio 2"...

Moi: Mais si c'est cela, nous nous ne demandons pas un baptême officiel, qui suppose de grands changement organisationnels. Même une appellation informelle, mais quelque chose qui reste et qui donnerait aux gens intéressés la piste pour en savoir plus. Juste une plaque, un nom, quelques mots.
Et puis, c'est déjà le cas pour la salle au sous-sol de l'entrée, non? Il y a une plaque, un nom?

L'affreux: Oui... hi hi... c'est mal fait, il s'appelle "Suter" (=sous-terre)

Moi: Ah ah (que c'est drôle) [je fais relever le trait d'esprit à Tchim alors que je ris jaune]. Toutefois, ce que je veux dire c'est que cela a déjà été fait une fois.

L'affreux: Ce n'est pas tout à fait pareil... là ce sont les employés qui ont dû élir une personnalité de leur choix. La condition c'est bien sûr que cette personne devait être décédée, ... Et puis ce monsieur Suter est un cinéaste suisse. Si on le fait pour vous, je crains qu'ensuite tout le monde veuille sa plaque.

Tchim: ... Attendez, si c'était votre femme qui était partie, vous laissant avec vos deux enfants? Vous ne chercheriez pas une petite reconnaissance, 20 ans après?
Si il y avait... mettons... 5 journalistes tous les ans, qui disparaissaient, je peux comprendre... Mais là je vous parle d'un seul en 20 ans!!!

(...)

Parmi les dernières paroles prononcées lors de notre entretien, j'ai noté celles-ci.

...Je ne suis pas choqué de votre démarche...
(2x)

Je les ai notées car j'ai eu de la peine à réaliser qu'elles avaient bel et bien été prononcées par un homme qui l'avait connu, côtoyé et "travaillé avec". Ils ont bien changé, tous. Ceux dont on me disait hier qu'ils cherchaient à changer le monde semblent aujourd'hui rechigner à accorder un hommage à leur "frère". Leur "famille" aura-t-elle finalement aussi triste allure?


: pas 5 chaque année... 1 en 20 ans...

samedi, novembre 24, 2007

S-Panico

Photographies panoramiques 360° de différentes réalisations de communication visuelle à Genève.


S-Panico photoshoot à la gare

Panoramique de la séance photo du groupe de rap S-Panico à la gare Cornavin de Genève.

vendredi, novembre 09, 2007

360° madness

En phase de tranzZzactions internationales en optiques de pointes ;)

...Non seulement j'ai de graAands projets... mais en plus j'ai décidé de faire le "casse du siècle" au sous-marin d'ici-là!

Je l'avais déjà dit: j'ai le cerveau en ébullition: je le met au profit du sous-marin pour les 354 jours à venir ;)

Dans le constant effort de stratégizZzation et le renouvellement perpétuel qui est la base de notre succès croissant, nous avons décidé de prendre un nouveau cap... De réactualiser la trajectoire... de nous positionner sur l'azimut originel de GV: la photographie 360°

(écrit le lundi 12.11.2007)

Et, je vous le donne en mille: on a fait trèèès fort ces derniers jours!

Premièrement, on a décroché un contrat pour quelques prises de vues 360 d'une fondation soutenue par la ville de Genève (sise dans un de ces vieux immeuble de la treille, avec vue sur la place neuve ;)

Ensuite nous avons aussi, dans la lancée, décidé une remise à niveau complète de tout le département "immersion contextuelle" (aaah, que j'aime cette expression du tréfond de mon p'tit bulbe à moi!): on a racheté une optique OneShot toute neuve, qui ira à merveille avec le Lumix FZ-50, 10 megapixelz' au capteur. (vendredi 9.11)

Egalement, nous sommes sur le point de nous rendre acquéreurs d'un module de création de visites virtuelles... juste incroyable! Avec plans de biens immobiliers, radar de vision, insertion de hotspots pour prolonger la visite, visualiser des images, jouer des sons, effectuer des actions diverses...

Sans oublier l'autre projet d'importance: l'acquisition des moyens nécessaires à la réalisations de photographies panoramiques 360x360 fullsphere! Chez GV, on a décidé de se doter du top-du-top pour notre expansion à venir dans le domaine de la visite virtuelle...

Enfin... justement parce que pour toute évolution majeure et pour chaque étape d'importance il faut un nom à la hauteur... Nous avons cherché. Nous avons bien cherché. Puis ce soir, de retour à la maison, en me creusant les méninges, à moitié en conversation avec Tchim, à moitié dans mon délire de conquête du monde (au bizness et en voyage), j'ai eu la ré-vé-la-tion!

www.VIRTUALVISIT.tv

Avec pareille opportunité, il ne fallait pas hésiter... à chaque seconde je craignais que quelque part sur la terre un autre ait eu la révélation dans le même temps... Mais non. Rapide consultation fraternelle... puis mouvement stratégique d'acquisition éléctronique tactique ;)
Le domaine appartient désormais à GV.

Tout m'y plaît! Il s'annonce porteur de graaAAaand succès, je le sens, je le sais!

Un nouveau jalon sur le chemin, long, pentu et sinueux qui mène à la mine. C'est cela d'être motivé, heureux et "siffler en travaillant" ;)

samedi, novembre 03, 2007

Images de rêve

WaoOOow je trippe à donf' et je me réjouis en image. Du passé à conjuguer au futur.
363 jours encore.