Maintenant plus d'excuses pour le coup classique du "Ouais mais bon, tu vois quoi, tu comprends, c que..." et ne pas prendre de news. L'ère du Blog sonne le glas de la désinformation institutionnelle (celle des chinois du FBI): maintenant où que tu te trouves sur la planète tu peux savoir ce dont il retourne: Les trépidantes journées de McJanus te sont contées avec fifres z'et tambourins! ;-)

vendredi, février 29, 2008

Pas un bargeot... un vizZzionnaire ;)

Je disais dans un post récent que j'avais renoncé à travailler dans le domaine que j'ai étudié... J'ai envie de corriger cela en quelque phrases.

A mesure que les jours passent, nous tissons un réseau sans cesse plus étendu de contacts. Ces contacts sont actifs dans de très nombreux et divers secteurs. De l'humanitaire aux établissement bancaires, en passant par de nombreux particuliers.

A mesure que les jours passent, notre entreprise prend de l'ampleur et se plie au rythme et aux exigences de la "Genève internationale".

A l'international, justement, il y a fort à faire et beaucoup à voir. Des clients, mais en premier lieu aussi des fournisseurs. Depuis lundi c'est San Diego, New York, Hong-Kong, Bombay, Pékin, Moscou, Londres, Vienne, Munich, Paris sans oublier Genève aussi bien sûr... Waow, le nom de GV parcours plusieurs dizaines de milliers de kilomètres chaque jour, sur internet, au téléphone, en devis, en factures mais aussi... et je l'espère surtout... en sourires et en satisfaction ;)

A y penser ça donne à réfléchir. En être arrivé là après avoir étudié les relations internationales... C'est étrange, oui... mais finalement assez logique. Intégrer une certaine notion des échanges internationaux, un esprit innovant et entreprenant, éviter le status quo et créer le changement... puis savoir simplement profiter des opportunités là où elles se trouvent en fonction des besoins et des conjonctures... Je m'essaie à l'internationalisme, moi aussi.

Dans toute cette histoire j'ai parfois le sentiment de perdre ma fibre journalistique. Il y a eu des découragements à l'été dernier (cf. l'Hebdo et ses Globe-Trotters, le Temps et son "stage garanti"), le fameux livre commémoration des 50 ans de la TSR et mes rencontres subséquentes à la "Tour de Voir". Tout cela m'a passablement détourné de l'image quasi-angélique que j'avais de la profession. Au-delà des clichés aventuro-romantiques, je pense avoir découvert une autre facette du métier. Il m'arrive de douter.

Si c'est comme cela, j'ai résolu en moi-même de changer le monde d'une autre manière. Je ne suis pas le premier et je prie de toutes mes forces pour ne pas être le dernier. J'ai décidé de ma voie et je pense avoir un bout de chemin à y faire.

Je rêve souvent à mon futur... J'y ai des vizZzions parfois... Je dois délirer un peu sans doute... mais j'y crois vraiment!
  • Premier fournisseur de contenus en 360°
    • Photographie 360° Quicktime VR
    • Vidéo 360° immersive sphérique
  • Première référence pour la visite virtuelle de la ville de Genève (Suisse)
  • Un journal d'actualité en ligne avec des images de reportages en panoramas 360°
Pour se changer un peu les idées, je souhaite prendre des vacances sur le modèle que j'ai pratiqué et que je vais poursuivre encore. Je crois en un dur travail à Genève puis quelques mois à parcourir le monde... et en profiter pour réaliser des images pour décrire les paradis (et les "enfers") sur terre. Une manière de sensibiliser à l'ailleurs sur un modèle novateur. Après le Tour du monde en 80 jours de Jules, Jan fera son Tour du monde en 360° !

...Et par conséquent, dans le domaine de mes idées vizZzionnaires pour changer la face de la planète, je souhaite réaliser la première caméra vidéo 360° (également pour photos panoramiques et quicktime VR) qui soit disponible au grand public pour des applications de loisirs, pour témoigner de la vraie réalité. Je sais que la mise au point de ce projet peut changer la vision que l'on se fait du monde, dans tous les sens du terme. Porter un Oeil Nouveau sur la planète, se rendre compte de la réalité de nos Frères sur la Terre

Je m'en défends:
Chuis pas un bargeot... je suis un vizZzionnaire!

jeudi, février 21, 2008

Scoop en 360°

Et bien... je débute mon apprentissage de la photo panoramique sur les chapeaux de roue! Coup de bol pour moi... beaucoup moins pour le propriétaire de ce camion... La grosse colonne de fumée grise épaisse que je voyais au loin m'a tout de suite intriguée: elle flairait le scoop.

Arrivé à la hauteur de la source, j'ai vu les flammes qui s'échappaient du camion par le toit. J'ai vite posé la voiture à l'arrache sur un demi-trottoir puis j'ai pris l'appareil et j'ai foncé.

Au moment où je suis arrivé il n'y avait encore personne: ni police ni pompiers. Juste de malheureux livreurs essayant de contenir les flammes avec leurs extincteurs de poche.

Pour moi c'est d'ailleurs toujours une situation assez particulière à vivre: vivre une urgence sans y prendre part mais en témoignant de son impact, de ses conséquences. A mon échelle modeste, c'est là le dilemme du photographe que je vis. A posteriori toujours... Sur le coup on se lance sans réfléchir. C'est après que l'on s'interroge sur son rôle, sur sa motivation, sur soi...

Enfin donc la voilà, la mise en situation au travers d'une nouvelle image 360° panoramique. Une force de la scène qui n'a pas son pareil en photo traditionnelle. Et si l'avenir du journalisme photographique, du vrai à venir, c'était cela?

Genève, Suisse. Pompiers du SIS en action, éteignant un camion en feu. Rue de Lausanne. Mercredi 20 février, 15h05.


Vous pouvez déplacer le champ de vision et cliquant et en déplaçant la souris. Pour zoomer, pressez "majuscule" pour dé-zoomer, pressez "ctrl". Pour ceux qui souhaitent enregistrer l'image en moyenne-définition, l'adresse du fichier quicktime VR est en lien en cliquant sur le titre.

mercredi, février 20, 2008

Photo panoramique 360° université de Genève (Batîment Uni Mail)

Snif.
Une larme d'émotion alors qu'humblement je vous présente le premier panorama réalisé de cette façon, en haute-définition native (rassemblement d'images). Heureux et fier. Première étape d'un long chemin qui mène au Wallalah des photographes, j'ai nommé l "immersion contextuelle".

Donc voila.

Photo panoramique en quicktime VR de l'Université de Genève. Batîment de Uni Mail, à Plainpalais. Hall principal, forum.
12h35




Reste plus qu'à éditer une version sans les watermarks des programmes d'assemblage. On les a achetés (parfaitement, Mô$$ieur!) et je vais donc les enlever dès demain.

Trop kewl.

Ca ne semble pas grand chose... mais quand on cherche à étudier la chose à fond, que l'on se passionne comme je l'ai été, qu'on en rêve la nuit et que ca nous réveille le matin... quelque part, ce soir, je suis parvenu à un jalon, fort joyeuse occasion ;)

lundi, février 18, 2008

La lettre à l'entête qui tue...

Caramba! J'en reçois beaucoup (trop?) des lettres estampillées "Confédération Suisse" ces jours derniers... Quel pouvoir contraignant ne referment-elles pas. C'est en les ouvrant que l'on s'en rend compte, souhaitant ne jamais les avoir reçues...

Je suis contraint et forcé de passer mon quart-de-siècle à venir sous les drapeaux à servir la mère-patrie... 3 semaines de cours de répétition à compter du 23 juin. Ca me changera... après l'anniversaire au boulot, celui en exam', voila venu le Bidass'-Beurzday...

L'autre lettre qui a su retenir toute mon attention... était verte. Une idée? Les impôts de GV bien sûr... Re-caramba! Bon en même temps c'est chacun son tour de passer à la caisse... mais je préfère quand même quand ce sont les autres!

Normalement la série des lettres blanches à croix-rouge devrait être terminée pour un p'tit moment... le plus longtemps possible j'espère.
Jusqu'à l'année prochaine.

(...et pour le reste tout roule du tonerre!)

jeudi, février 14, 2008

2 mois plus tard

...il fallait évidemment que cela tombe aujourd'hui.... voila près de deux mois que je n'avais plus eu de nouvelles, plus de messages ni rien du tout... à en croire qu'il s'agissait vraiment d'histoire ancienne, finie et révolue (pour ne pas dire morte et enterrée)... mais non.

J'en étais absolument certain. J'étais convaincu qu'aujourd'hui serait LE jour... ze one... je ne me suis pas trompé. D'accord je pensais que ca aurait lieu a la feuille de banane.... ok ca a eu lieu par hasard au carrefour... n'empêche... j'en étais certain, je le sentais en mon coeur.

C'est un choix. Le sien. Brutal.

Il est tard. Je ne sais plus réellement si j'ai raison de m'exprimer publiquement sur le sujet... mais bon. On ne vit qu'une fois. Je le dis et je ne dois pas le regretter. Seul le geste initial est regrettable, mais mon action a moi n'est nullement à blâmer, je crois. C'est triste, finalement, j'en suis certain.

Un choix. De la fierté. Pas de volonté d'en arrière se retourner. Ne pas souffrir, ou faire comme si on était à l'abri.

Triste? Sage? Pragmatique?

Ca laisse songeur, c'est sûr... ca fait maintenant deux mois que je l'endure. La voyant, elle, j'ai vu, moi, ce qu'il en était... j'ai souri... avec peine...
C'est si long, c'est si triste, finalement, d'en arriver là, après tout cela.

C'est facile à dire... mais cela aurait pu être différent. Si différent. Et pourtant....

mardi, février 12, 2008

Celui qui Vit... et l'autre qui en rit...

En écoutant la raison, ma vie pourrait être si différente. Grise. Je pourrais être un employé de banque, payé grassement à aligner des chiffres. Je pourrais travailler pour un entreprise quelconque, genre multinationale, à me laisser mettre dans le crâne qu'il faut être "corporate", tout donner à l'entreprise... Je travaillerai toute la semaine, arrivé à 9h, reparti à 18h... Puis le week-end, comme tant d'autres, je n'attendrai que de sortir pour "me mettre une murge" et enfin Vivre pour moi, les 48 heures qui me sont données sur une semaine qui en compte 168.

Je pense avoir fait un choix. Mon choix c'est celui d'avoir fait des études poussées puis d'avoir renoncé à travailler dans mon "domaine" pour vivre un trip. Ce trip, c'est un délire collectif, celui de monter puis de faire tourner une boîte à nous, une entreprise qui nous ressemble. On y travaille et on y vit... mais c'est un choix librement consenti. On construit notre structure là où rien n'existait auparavant. Chaque étape est un nouveau jalon et c'est là la source de notre fierté.

De manière plus générale, je suis un homme d'intuition. Quand j'ai une illumination, un idée dont je pense qu'elle peut s'avérer porteuse, en termes personnels et/ou financiers, je me lance à fond dedans. Souvent d'ailleurs je passe pour un illuminé auprès de ceux qui me connaissent... pour les autres, je suis juste un fou, un dingue de passage.

Combien de fois j'ai vu ces sourires entendus, dû entendre ces rires narquois et affronté des remarques parfois blessantes.

Souvent, je passe outre mes sentiments personnels et je vois les choses sous un angle qui est le mien. Je vis mon délire à fond, je Vis tout court. Si j'ai une idée, je la concrétise. Si j'ai un rêve, je le réalise. A la fin de ma Vie, j'espère pouvoir me dire que j'ai bien vécu, agis justement et que je suis allé au bout des possibilités qui s'offraient à moi!

...et tant pis si, aujourd'hui, ça en fait sourire certains... Moi, je leur souhaite une Vie aussi riche d'aventures, d'expériences et de rencontres que celle qui m'est offerte jusqu'à présent.

Merci le Destin. J'assumerai ma Voie, quelle qu'elle soit, où qu'elle mène.

"C'est en faisant n'importe quoi qu'on devient n'importe qui!"

jeudi, février 07, 2008

La Suisse et Genève dans la (Dés)Encyclopédie

Extraits sortis de l'article sur la Suisse de la DésEncyclopédie:

En 1291, Guillaume Tell, pour se distraire, place une pomme sur la tête de son fils Jean-Maurice et la vise à grands coups d'arbalète. Les Autrichiens assistant à la scène disent "Got verdaammt mir nemol huere scheiss oder gau", ce qui signifie "houlala je veux rien avoir à faire avec ces malades, viens, Thérèse, on rentre à la maison". La Suisse devient donc indépendante.

Petite île perdue au milieu de l'Europe, le Bankland (la Suisse pour les intimes) aurait depuis longtemps coulé s'il n'y poussait pas une espèce unique au monde : la vache Milka (Sainte-Patronne du pays) qui donne conseil et avis sur toutes questions dans la vie quotidienne.

La Suisse est une démocratie directe. Le parti majoritaire est l'UDC "Union des crétindesalpes". Ce parti à un très puissant chef sur la scène politique suisse. Un milliardaire ayant gagné sa fortune en faisant des affaires avec les paysans Sud Africains durant l'apartheid. Ce dernier impressionne beaucoup le Suisse moyen par ses idées réactionnaires qui sont réputées efficaces depuis qu'elles ont fait leur preuves en Italie et en Allemagne.

La scène politique suisse ressemble à un épisode de Derrick en version original, l'action n'y est jamais direct car les Suisses n'aiment pas les réformes qu'ils jugent trop rapides. Le politicien suisse adore les consensus qu'il revendique depuis qu'il les as inventé en 1491. Les partis politiques sont le ps (pauvre mais solidaire) le pdc (parti des charlots), les verts (seul parti cetifié BIO) et les radicaux (qui sont au centre droit avec des idées de gauche et parfois l'inverse).

Un grand historien français, Coluche, disait que les Suisses et les Belges n'étaient qu'un seul et même peuple. Sauf que personne n'a pensé à leur dire, donc ils ont fait deux pays.

Particularité: c'est le pays ou l'on peut observer la concentration la plus élévée en voiture d'un prix d'achat supérieur à 100 000 €: Les femmes de ménages s'y baladent en Mercedes Classe A pour aller au travail.

Le pays se compose de différentes peuplades plus ou moins primitives: les Genevois (appellés parfois Tieu ct'e grand gueule ) qui exploitent les plaines des Vaudois et des Valaisans (appelés aussi paysans , ça rime et c'est fait pour ça). La plus grande tribu est à l'est du pays: leur nom est difficilement traductible ( Schwýtzïerrchdütsch ) mais les peuplades de l'ouest les appellent Bourbines (bien plus facile à prononcer que l' original , surtout si on a des glaires dans la gorge). Les Bourbines vivent donc dans le canton de Bourbineland et parlent des dialectes qu'on ne peut comprendre que si on est né là-bas. Le nombre de pseudo-langages parlés dans ces contrées étranges n'a pas été recensé jusqu'a présent . En effet, la langue parlée change d'un village à l'autre. Il n'est pas rare que deux personnages habitants à 3 km de distance ne se comprennent pas. Un dicton commun en Suisse civilisée (voir Suisse romande) dis que pour parler le suisse- allemand (voir Schwýtzïerrchdütsch), il suffit de parler n'importe quelle langue commune avec une poignée de graviers dans la bouche.

La frontière avec le Bourbinland s'appelle la barrière de Rösti (Röstigraben) . Cette frontière est gardée en permanence par l'UDC, parti politique gardien de la tradition helvétique. Dans le nord du pays existe une toute petite peuplade appelé les Jurassiens qui ,il y a bien longtemps, se sont disputés entre eux et depuis se sont regroupés en deux communautés se battant entre elles. Cette peuplade ne s'intéresse pas au reste du pays qui d'ailleurs ne s'intéresse pas à elle non plus étant donné que c'est la seule zone de Suisse ne possédant pas de banque.

;)

http://desencyclopedie.wikia.com/wiki/Suisse

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mardi, février 05, 2008

Carte de visite 2008

Depuis presque un mois déjà j'ai épuisé toutes mes cartes... pas un fond de tiroir, pas un bas-de-laine ni même un coffre n'en renferme plus... La dèche à donf'!

En plus qu'en cette période de nouvelles orientations stratégiques (j'vous en dirai plus dans un autre post), ca commence à faire désordre de ne jamais avoir de cartes sur soi...

Bref, donc tout cela pour dire que c'est ici le nouveau modèle... et que (je garde espoir) vos commentaires sont les bienvenus pour s'imaginer les effets et les ressentis à sa vue.

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