Maintenant plus d'excuses pour le coup classique du "Ouais mais bon, tu vois quoi, tu comprends, c que..." et ne pas prendre de news. L'ère du Blog sonne le glas de la désinformation institutionnelle (celle des chinois du FBI): maintenant où que tu te trouves sur la planète tu peux savoir ce dont il retourne: Les trépidantes journées de McJanus te sont contées avec fifres z'et tambourins! ;-)

vendredi, février 18, 2011

Soirée de triiiiiip à Genève

Bichette et McJanus en goguette, au bar de l'Ami Benech'

Aaaah, une bonne vieille soirée comme elle nous font tripper à Genève! Non mais sans rire... dans un temple! Si si, dans un véritable temple... comme une église, mais avec des lights, de la déco mi-bizarre, mi-étrange, de la musique piiiiiire trippée, un espèce de mélange éléctro-grunge-déjanté. Une sorte de montée en puissance qui commence par une bière et notre écoute passive du mix diffusé par le DJ en ambient. Un début de soirée trankillos, ca se dandine mais ca reste honnète.

Mais la lumière se tamise, la foule se compacte, c'est le signal, la première chanson: "Tu danses sur la merde qui passe ä la radio"... et le reste? Quelques autres bières et que du Bonheur!

lundi, février 07, 2011

L'épopée du retour

2h20:
C'est l'heure du départ... mais point de départ: je suis encore dans la salle d'embarquement avec au moins 100 indiens / pakistanais / indonesiens-ou-je-sais-pas-trop qui visiblement posent soucis divers et variés à la compagnie au vu du temps que pend chaque passage...

Je suis dans la file depuis 10 minutes sans que rien ne bouge... mais pas pour la fille qui me snake par la droite, telle la chacale sur le sentier de la guerre... aaaah mais attends ca v pas se passer comme ca. Alors sans rien dire, comme elle en premier, je me reglisse sur l'avant... gniek gniek gniek!

Encore 1 minutes puis c'est la progression du fennec-atomique: les employés de la compagnie repérent ma tête de blanc-bec au milieu des autres... "Sir... Sir!" je fais genre "me?", ils me répondent par un signe de m'approcher. Je pack mes trois bagages à main d'abuseur de bonté (avec 20 kg de cabine, je crois que j'exagère, je crois...) et... je passe touuuuuuuute la file pour arriver à l'avant ou visiblement mon passeprt suisse fait l'effet d'un charme: ca prend même pas 30 secondes à compléter le check, découper mon billet et me faire monter dans le bus...

Sur ce coup-là valait mieux pas trop venir du soleil visiblement!

5h45:
A l'aéroport de Doha, c'est comme c'était devenu de tradition de plus dormir... je veux dire plus domir du tout... Non non... et puis quand bien même c'est pas faute d'essayer, mais non: ce matin, 5h30 je me motive tout de même a fermer les paupières durant les 2 heures qu'il me reste à attaendre. A peine je sens la légère impression du dodo qui pointe son nez... que "Boss... boss! It is morning!" Argh! L'employé du lounge (un inconnu au bataillon) qui me tapote le triceps et brise en plein élan mon assoupissement...rââââh l'enfwaré!